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Le syndic de copropriété, élu en assemblée générale pour un mandat de 3 ans renouvelable, a pour mission d’assurer la bonne gestion d’un immeuble. Pour cela, il est essentiel de bien le choisir. Pour ce faire, sachez que vous avez la possibilité de jeter votre dévolu sur trois types de syndics de copropriété différents, comme ceux que vous pouvez découvrir dans cet article.
Premier type : le syndic professionnel en ligne
Bien qu’il soit en ligne, ce syndic est assuré par un spécialiste qui dispose d’une carte professionnelle. Il est apte à prendre en charge tout ce qui concerne la gestion administrative et la gestion comptable d’un bâtiment, mais également toutes les responsabilités juridiques qui en découlent. Néanmoins, il n’interviendra pas physiquement dans l’immeuble. Pour cela, les copropriétaires devront s’acquitter des charges suivantes :
- intervenir auprès du syndic en ligne en cas de problèmes tels qu’une fuite d’eau, un souci de propreté, une panne d’ascenseur ou un conflit de voisinage ;
- gérer avec les prestataires les rendez-vous concernant l’élaboration de devis et de travaux ;
- s’occuper de la tenue et du suivi des assemblées générales.
Pour plus d’informations sur ce type de syndic, n’hésitez pas à visiter un site spécialisé dans ce domaine.
Second type : le syndic professionnel traditionnel
Par rapport au syndic professionnel traditionnel, les grosses copropriétés sont celles à qui il s’adresse en premier lieu. Cela est généralement dû au fait du nombre important de lots, qui demande un travail important au niveau comptable et administratif. C’est pour cette raison qu’il est très intéressant d’opter pour un syndic professionnel traditionnel, car cela va vous permettre de bénéficier d’un spécialiste qui s’occupera de tous les dossiers de A à Z, parmi lesquels on peut retrouver la gestion de chantiers importants, prévus ou en cours, des spécificités juridiques, des problèmes d’impayés ou des contentieux récurrents.
Concernant ce type de syndic, n’hésitez pas à vérifier les prestations incluses dans votre contrat, car en fonction de la qualité de service, le coût de ces prestations peut être élevé.
Troisième type : le syndic non professionnel
Vous pouvez également faire confiance à un syndic non professionnel qui est simple à mettre en place et qui s’adresse habituellement aux immeubles disposant moins de 10 lots. L’individu désigné pour le diriger n’a pas besoin d’une carte professionnelle, il doit juste être élu par les copropriétaires lors d’une assemblée générale. De plus, n’incluant pas d’honoraires du fait que le syndic désigné peut exercer son travail bénévolement, cela en fait une solution peu coûteuse. Ce type de gestion non professionnelle peut néanmoins créer des tensions entre ce syndic et les autres copropriétaires. Effectivement, tout en étant parfois partie prenante en tant que copropriétaire, il peut être amené à gérer certains problèmes comme des impayés ou un problème entre voisins.
Choisir ce type de syndic non professionnel peut donc s’avérer risqué, et c’est d’ailleurs pour cette raison que ce choix n’est envisageable que pour des petites copropriétés jusqu’à 10 lots maximum.
Conclusion
Peu importe celui que vous choisirez, sachez qu’un bon syndic doit être facilement joignable et réactif. Il doit être capable d’apporter une réponse aux questions posées par le syndicat de copropriété sous 48 heures.
